jeudi 31 mai 2007

mardi 29 mai 2007




Lettre d'art n 3 bientot chez l'imprimeur vous pouvez recevoir le fichier en pdf si vous le désirez sur simple demande


lundi 28 mai 2007

FESTIVAL INTERPOL'ART


Du 2 mai au 3 juin 2007 les artistes locaux s'exposent dans sur le thème du polar dans les lieux suivants :
Art Intérieur, 6 rue Carrouge - 03 26 03 92 11
Au Petit Comptoir, 17 rue de Mars - 03 26 40 58 58
Caves C.P.H., Place Léon Bourgeois - 03 26 40 12 12
Galerie 4, 27 rue Henry IV - 06 63 43 38 76
Galerie Tambour, 23 rue tambour - 06 07 60 38 87
La Boutique, 23 rue du Général Sarail - 06 19 57 35 05
La Cave à Jules, 23 bis rue de mars - 03 26 46 10 00
L'Art Gilles, 18 rue Colbert - 03 26 97 21 13
Du 2 mai au 3 juin 2007
Exposition BD policière et d’aventure Médiathèque Jean Falala (Espace littérature, 2e étage)«Noirs dessins, Patrice Sanahujas et André-Paul Duchâteau»Noirs dessins est une des trop rares occasions de (re)découvrir le talent du dessinateur rémois Patrice Sanahujas (prématurément disparu en 1996) allié à l’écriture d’André-Paul Duchâteau, écrivain de polar et célèbre scénariste de la série BD Ric Hochet.Patrice Sanahujas et André-Paul Duchâteau se rencontrent au festival du film policier de Reims en 1980. Ensemble, ils créent trois séries de bande dessinée qui vont marquer les années 80 : Serge Morand, polar qui narre les aventures mouvementées d’un détective privé champenois ; Chancellor, space-opéra qui met en scène un détective de SF et Challenger, une adaptation du célèbre roman d’Arthur Conan Doyle.
Le vernissage de l’exposition aura lieu samedi 2 juin à 18h.

Médiathèque Jean FALALA10H Sarah K - rencontre avec les professionnels du livre14H30 Sarah K - rencontre avec les scolaires Hôtel des Comtes de Champagne,20 rue de Tambour rencontre dédicace avec Pascal Somon et Daniel Casanave Cinéma Opéra à 20H00Séance spéciale : Projection du film "Zodiaque" de David Fincher ( USA, 2007). Médiathèque Jean FALALA à 20H30Projection d'un épisode de la série "Boulevard du Palais" : "Autopsie d'un couple" - réalisation : Dominique Tabuteau, scénario : Serge Adam et Emmanuel Schaeffer avec : Anne Richard, Jean-François Balmer, Philippe Ambrosini, Samuel Labarthe, Olivier Saladin, Frédéric Haddou, Catherine Aymerie, Fred Nony
Vendredi 1er juin 2007
Médiathèque J Falala - Rencontre avec l’invitée d’honneur du festival, Andrea H. Japp, animée par Jacques BaudouNée en 1957 à Paris, Andrea H. Japp est toxicologue de formation. A ce titre, elle travaille notamment avec la NASA. Publié en 1990, son premier roman La Bostonnienne obtient le prix du Festival de Cognac l’année suivante. A partir de 1996 (La parabole du tueur), elle met en scène le couple d’enquêteur James Cagney, profileur au FBI, et Gloria Parker-Simmons, mathématicienne. Andrea Japp déploie deux registres d’écriture, la comédie policière où se croisent nombre de personnages décalés et le roman de suspense très documenté. Après plus d’une vingtaine de romans, Andrea Japp est sans conteste l’une des plus brillantes romancières de la littérature policière mondiale.
Samedi 2 juin 2007
Médiathèque Jean FALALADe 14H45 à19H00 des cabarets polar et des rencontres-dédicaces avec les auteurs invités auront lieu dans l'auditorium en présence de Pierre Mondy :14H45 rencontre André Paul DUCHATEAU animé par Patrick GAUMER15h45 rencontre Francis RYCK - Laurent MARTIN, Philippe LE ROY16H45 le polar historique avec Andrea JAPP. Dans la cours du Palais du Tau - de 14H45 à19H00Marché au polar d’occasion (et des B.D. !) sous des tentes spécialement installées le tout dans une ambiance convivial de 15H à 19H à la Médiathèque Jean FALALA Rencontres dédicaces avec Thierry Doudoux, Alain Paillou, Chandre, Sylvain Savoia, Olivier Thomas, Marniquet, Bolino.
Dimanche 2 juin 2007
Médiathèque Jean FALALA à 15h00 : Projection du premier épisode de la série " Vidocq" - réalisation : Marcel Bluwal, scénario : Georges Neveux avec Bernard Noël, Geneviève Fontanel, Alain Mottet, Pierre Duncan, Mario David, Marcel Charvey. Suivi d'un débat avec Patrice Ducher, auteur de "Bernard Noël, prince et brigand de comédie".Cinéma - télévision Médiathèque Jean FALALA à 16h00 : Hommage à Pierre Mondy, projection d'un épisode inédit de la série "Commissaire Cordier" en présence de Pierre Mondy.“Le film le plus contrôlé, le plus complet, le plus parfait de la carrière de John Huston” Robert Benayou
A L ' A F F I C H E
Jean-Pierre ALAUX, Jean BIGOT et Serge FRECHET publient "Des yeux de braise", un livre au profit de l'association Interpol'art.
Cliquez ici pour en savoir plus.



jeudi 24 mai 2007

Centre Pompidou de Metz



Le 9 janvier 2003, le Centre Pompidou et la Ville de Metz annonçaient la décision, en accord avec le ministère de la Culture et de la Communication, d'implanter à Metz la première antenne décentralisée du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou.Dès le 18 mars, un concours d'architecture était lancé pour la construction du Centre Pompidou-Metz, dénomination officielle de cet établissement.La première pierre du Centre Pompidou-Metz a été posée le mardi 7 novembre 2006.

Les Missions du Centre Pompidou-Metz
L'implantation d'un tel Centre à Metz constitue la première expérience de décentralisation culturelle par un établissement national. Elle dotera une région insuffisamment pourvue jusque-là d'une offre conséquente dans le domaine des arts visuels modernes et contemporains, d'une institution de niveau international. Avec la création d'un site à Metz, il s'agit aujourd'hui de faire franchir une nouvelle étape à la politique de diffusion extérieure engagée en 1997 par le Centre Pompidou, lors de ses travaux de rénovation. Le projet messin entend ainsi démontrer qu'un exemple ambitieux de décentralisation renforce le rôle des régions.Par ailleurs, l'installation d'une telle institution à Metz, voisine de l'Allemagne, de la Belgique et du Luxembourg, permet d'envisager également un rayonnement artistique de l'établissement en Europe. Cette situation frontalière éminente, alliée à la mise en service du TGV Est Européen, est de nature à attirer à Metz les publics en provenance d'Europe de l'Est et du Nord.D'une superficie globale de l'ordre de 10 000 m2 pour 5 000 m2 environ de salles d'exposition, ce nouveau Centre rendra accessible aux publics européens l'ampleur et la qualité exceptionnelles des collections du Musée national d'art moderne conservées au Centre Pompidou. Par ailleurs, la nouvelle institution comprendra aussi des espaces pour l'accueil du public, pour des projections, des performances, des conférences, une librairie, un restaurant et une cafétéria.

LES FRERES JEAN SONT GUEDINS SPEZIAL

LES FRERES JEAN SONT GUEDINS SPEZIAL


Exposition du Collectif Jean Spezial et des Frères Guedins



Vernissage samedi 26 mai 2007
de 16h30 à 22h
avec participation spéciale du collectif M.L.E.H aux platines !!!

Lieu : Atelier Verrière de Gingko :
9 rue Jeanne D’Arc 10000 Troyes

lundi 21 mai 2007

expo photo Alain Collard


Le "Pas Sage" vous convie
au vernissage de l'exposition photographique
d'Alain Collard,
avec pour thèmes les robes et la séparation :
le Samedi 26 Mai 2007 à 19 heures.
Ce moment de découverte et de plaisir sera accompagné
"harpistiquement" par Célie Benoist,
médaillée d'or en 2005.
La soirée se déroulera dans le bar restaurant :
Passage du commerce, 27 rue deVesle à REIMS.
FORFAIT 7 euros
1 coupe de champagne
buffet de tartes
Exposition d' Alain Collard
Concert
Pour réserver : merci de répondre à l'adresse suivante,
"Le Pas Sage", 27 rue de Vesle 51100 REIMS.
En précisant votre nom et le nombre de personnes, avant le 15 Mai.
Envoyer votre chèque à l'ordre du "Pas Sage".
Format 15x20 cm, Perpetua

EXPO "DIAGONALES"


du 2 au 24 Juin
exposition " Bestiaire imaginaire "
du collectif "Diagonales"
au Centre d'Art et de Culture
Eglise de Pontgivart
à Auménancourt

samedi 19 mai 2007

Instalation Gerard Batalla


Printemps
Vidéo envoyée par umbertobertozzi

vendredi 18 mai 2007

FESTIVAL INTERPOL'ART

La deuxieme édition du festival se déroulera à Reims du 28 mai au 3 Juin de Nombreuses expositions de plasticiens se déroulerons dans différents lieux de la ville.
Art Intérieur 6 Rue Carrouge
Au Petit Comptoir 17 Rue de Mars
Cave CPH Place Léon Bourgeois
Galerie 4 au 27 Rue Henri IV
Galerie Tambour au 23 de la même rue
La Boutique 23 rue du Général Sarrail
La Cave à Jules 23 Bis rue de Mars
L'art Gilles 18 rue Colbert

Contacts et programmes dans ces lieux ou sur www.interpolart.com

PEINTURE EN DIRECT


Dessin avec une Bombe de peinture
Vidéo envoyée par NeTskY

Nouvelle

Il, y avait une fois dans un pays merveilleux, ma coquille. Elles étaient là, à attendre à l’affût, qu’un regard de femelle s’accapare le mien parmis la multitude d’embrouilles des politesses bien venante de la bourgeoisie errante. Moi j’étais la comme une huître à attendre que la marée passe. C’était un vernissage. C’est là que j’ai rencontre Carole, je me suis approché, et lui ai esquissé un sourire. Inutile de vous explique les détails car vous n’êtes pas des sots, parce que vous pourriez être con mais ça, s’est pour les intimes. Alors j’étais là avec Carole. Il faut que je vous parle des huîtres. Pour que deux huîtres se rencontrent elles sont généralement sur le même rocher, c’est la que vous n’êtes pas cons, car vous savez bien quelles ne se rencontre pas en faisant le marché entre dix heures et midi le dimanche matin après la messe. Et oui, j’étais pas la seule huître à être présente ce jour la sur le rocher. Mais ni l’une ni l’autre ne faisait des perles. Là je ne vous explique pas la différence entre la perle de culture et la perle sauvage car s’est vous qui allez dire que je suis con ou tout du moins chiant. Et puis je sais, que de toute façons vous aussi regardez thalassa le vendredi soir après l’apero parce que vous êtes des bons citoyens comme moi et que l’apéro, la semaine, ne dure pas jusqu a 20h45 (heure de talassa )le vendredi soir après la pub sur la trois national. . Maintenant, je sais que j’ai gagné votre sympathie et que vous irez au moins jusqu’à la deuxième page de ce chef d’œuvre en écriture. Donc je reviens à l’histoire de cette huître rencontrer sur le rocher. Elle était là à me regarder avec ses yeux de merlan frit. Moi qui suis un homme très perspicace j’ai tout de suite compris que ces yeux là ne me regardais pas avec l’indifférence que l’on peut accorder à la personne qui viens uniquement le dimanche matin, après la messe, sur le marché dans les mois en r pour acheter sa bourriche et qui attends la monnaies sans même vous daigner d’un regard. C’étais le jour de vernissage d’une super expo d’un super artiste il y avait plein de gens et plein de peintures qui étais accroches (pas les gens). Le champagne coulait à flot et les regards en disaient plus que la presse partisane de ce moment de révolution culturelle internationale que nous vivions dans cet instant inédit. -On se connais je crois, lui dis-je avec toute l’attention qu’il se doit dans ce genre de rassemblement de la bonne société environante. -Vous venez souvent dans les expos ? -Oui j’aime bien parler avec des gens intellos c’est mieux qu’avec les hétéros, c’est pas pareil. -Ha, bon. Vous avez sans doute raison. HaiHaiHai il faut que je change de sujet. Son verre était vide, et je m’empressais de lui proposer mes services pour un aller retour rapide vers le buffet. J’arrive toujours, après 45 années de faste indifférence auprès de l’espèce humaine à m’étonner de m’a grande courtoisie au sujet de la gente féminine. Ceci dit, j’aime aussi beaucoup les enfants, ça s’est sans doute mon côté rital. Et je vous l’expliquerais plus tard si vous arrivez à la dixième page de cet ouvrage. Revenant avec mes verres à la main je m’aperçu que ses lèvres c’étaient entrouvertes et dévoilaient des dents de nacre (normal pour une huître) pour m’exquise un sourire qui me faisait frémir dans m’a plus grande intimité. -Mais ou nous sommes-nous donc rencontre lui dis-je avec un étonnement qui aurais pu lui sembler sincère. - Sans doute au bal des pompiers le mois dernier me rétorqua t’elle d’embler sans grande conviction. Là, je ne savais plus quoi répondre et j’asseyais de captiver dans son regard le degré de sa réponse sans grande conviction à mon tour. Et, le miracle se produisis sans même que je puisse m’y attendre ,ses yeux se mirent à briller et me regardant fixement à peine entrouverts ils devenaient des étoiles. Un éclat de rire se produisis instantanément de par et d’autre et j’avais compris que la glace du premier regard étais rompu et que les prochaines minutes qui allaient suivre seraient riches en émotions. -Pourquoi riez-vous ? Je m’adressai à elle avec mon regard des plus expressif. -Si vous aviez vu votre tête. Hihi, rajouta t-elle. -Je crois que quelqu’un va parler lui dis-je en lui proposant de se rapprocher du groupement qui étais en train de se formé au fond de la salle. -Salut Hubert. Je me retourne et qui voilà. Ha ! C’étais le poulpe, lui aussi avais repéré mon huître. Vous savez très bien que les poulpes sont friands de crustacés puisque vous regardez la trois le vendredi soir. -Tiens qu’est ce que tu fais là ? Je lui posais la question mais savais très bien qu’il ne manquait jamais l’occasion de boire une coupe gratuitement et en plus s’était son lieu de prédilection pour la drague et bien sur comme il avait repéré la gente dame qui se trouvait en mon aimable compagnie il ne perdait pas l’occasion de faire une heureuse rencontre. -Excuse-nous, lui dis-je en prenant le bras de ma bien aimé pour l’entrenner vers l’orateur qui avait commencé à parler. IL resta là bouche bée sans rien dire, nous regardant nous éloignées. Moi je me retournais vers lui, sourire en coin, un peu trop calculé à mon goût, mais nécessaire pour la circonstance. -Et c’est grâce aux compétences du personnel de notre municipalité que cette exposition a pu voir le jour, je tiens tout d’abord à remercier monsieur…………etc. Le ton étais donner blablabla pendant 10 minutes au moins, espérons qu’il n’y aura pas trop de personnes à prendre la parole. -Chuuut Les regards se tournent vers nous. Je n’ai rien fait et me retourne. Le poulpe était là, a conversé avec devinez qui ? Il avait sortie ses tentacules et ses ventouses ne risquaient pas de lâcher leurs proie..........

LA SUITE VIENDRA PLUS TARD

La nuit des musées à Reims

Dans le cadre de la nuit de la vidéo et la nuit des musées, une vidéo sera projetée samedi sur la vitrine de l'ESAD rue Libergier aux environs de 21h00. Une autre projection aura lieu au Musée des Beaux Arts vers 20h00 puis la soirée se poursuivra au Palais du Tau aux environs de 21h30 / 22h00.

dimanche 13 mai 2007

Porte ouvertes à Belleville

"Sublime Recyclage" Portes Ouvertes des Ateliers d'Artistes de BellevilleDu 11/05/2007 au 14/05/2007
Portes Ouvertes des Ateliers d'Artistes de Belleville (18ème édition)du 11 au 14 mai 2007 de 15 h à 21 h. Thème : "SUBLIME RECYCLAGE ".Points d'accueil :Galerie et siège des AAB : 32, rue de la Mare, 75020 Paris Tél/Fax : 01 46 36 44 09. M° Couronnes, Pyrénées ou Jourdain, Bus 96 et 26Cfdt : 2, boulevard de la Villette, 75019 - M° Belleville250 artistes de Belleville et leurs invités, au sein d'une association autogérée, ouvrent gratuitement leurs ateliers : plus de 100 lieux à visiter pendant quatre après-midi consécutives, ponctuées de festivités.Cette année, sont invités : Le collectif brésilien Chave Mestra et L'association des Beaux Arts du Vietnam Hôi My Thuât. Les Portes Ouvertes sont aussi l'occasion d'investir l'espace public avec des installations et des performances. Et pour la première fois, Les AAB proposent deux soirées : Vendredi 11, fiesta brésilienne place Sainte-Marthe (10e). Samedi 12, grand bal place Maurice-Chevalier (20e) et un "sublime défilé" de mode "recyclée" sur les marches de l'église de Ménilmontant.Créée en 1989, l'association Les Ateliers d'Artistes de Belleville (Les AAB) est née de la volonté des artistes de s'inscrire collectivement dans le paysage urbain. En défendant leurs lieux de création situés dans Belleville (10è, 11é, 19è, 20è arrdts), ils contribuent à la sauvegarde et au dynamisme du quartier.
AAB Ateliers d’art de Belleville

Comuniqué Artprice

Ilya KabaKov «The Man Who Flew Into Space From His Apartment» 1968-96.________

La Russie contemporaine - Un marché émergent [mai 07]
Après la vente d’art contemporain russe de Sotheby’s en février et la seconde édition de la biennale d’art de Moscou qui s’est tenue en mars dernier, l’art contemporain russe est en ébullition. La liberté d’expression des artistes russes est un phénomène récent si l’on se réfère au scandale de 1974, quand une exposition de «non-conformistes» à Moscou fut démantelée au bulldozer. Le visage culturel de la capitale russe a profondément changé, fort de centres d’art contemporain ouverts ces dernières années. Bien que de nombreuses œuvres se concentrent sur la critique sociale et politique de l’ancien régime, les langages artistiques se diversifient. L’art contemporain russe rencontre des amateurs de plus en plus nombreux mais les collectionneurs chevronnés sont, à l’heure actuelle, essentiellement des russes.

mardi 8 mai 2007

BONGOUT AU CANICHES MODERNES

Basés à Berlin, transgressant les limites des médiums, graphistes, sérigraphes, artistes ou éditeurs, Anna Hellsgärd et Meeloo Gfeller officient sous le nom de Bongoût.

lundi 7 mai 2007

Maison des arts et loisirs de Laon

Jean Michel Basquiat

La Ville de Laon invite les habitants de Laon et de sa région à découvrir des spectacles et expositions accessibles à tous, ouverts à toutes les curiosités.Le public Laonnois est curieux, averti…et exigeant. La Ville de Laon par l'intermédiaire de la Maison des Arts et Loisirs, lieu central de la vie culturelle de notre cité, s'efforce de répondre à ses attentes. Consciente de la multiplicité des publics, elle augmente et diversifie ses propositions pour satisfaire le plus grand nombre.

Exposition

du 23 mars au 23 mai 2007
Fonds Régional d'Art Contemporain de Picardie"lignes de corps"
Dessins de Georg Baselitz, Jean-Michel Basquiat, Marlène Dumas, William Kentridge, Chloé Pienne, Anne-Marie Schneider, Barbara Camilla Tucholski
Journée Portes Ouvertes, animée par le service des publics du FRAC Picardie, le mercredi 28 mars de 10h à 18h.

samedi 5 mai 2007

Moderato ma non troppo.

Est-ce que l’art est une musique ?
Doit-il être modéré mais pas trop ?
Art académique, institutionnel ou privé,
Doit-on l’écrire sur une portée ?
Lettre d’Art n’est rien de ça,
Tout simplement un peu de joie.
Tous vos e-mails et vos courriers,
Nous ont donné du baume au foie (Ca c’est pour la rime)
Merci d’être toujours là,
Car on sait pas ce qu’on d’viendra.
Un magazine sans prétention,
N’a pas très bonne réputation.
Ecrivez-nous et nous saurons,
Que vous avez de l’émotion.
Nous on dépense tous nos crayons
Et notre temps (Ca s’est pas pour la rime)
Pour vous donner cette émotion.
Allez voir les expositions,
Et nous aurons satisfaction.

P.S. : Vous pouvez mettre ça en musique

Umberto .Bertozzi

Caroline Valette








Caroline glane au fil de ses promenades et trie les matériaux par couleur et par forme pour créer des installations fragiles. Organisés avec délicatesse, ses éléments deviennent l'humus de notre imagination.Comme pour remercier la terre qui lui rend ces matériaux, inspire ses créations, elle détourne les objets et nous les retourne en offrandes. Pour Caroline, la récupération est un art de vivre, l'expression de l'humilité. Avec de petites choses aussi anodines que des clous, des semelles, des branches mortes, des coquilles d'oeufs ou des capsules, elle propose une création graphique et esthétique harmonieuse avec une candeur déroutante.
Caroline glane with the wire of her walks and sorts materials by color and form to create fragile installations. Organized with delicacy, its elements become the humus of our imagination. As to thank the ground which returns these materials to him, inspires its creations, it diverts the objects and returns them to us in offerings. For Caroline, recovery is an art of living, the expression of humility. With small things as alleviating as of the nails, died soles, branches, egg shells or capsules, it proposes a graphic and aesthetic creation harmonious with a diverting frankness.

Le Vent des Forêts, un centre d'art en milieu rural




Au cœur du département de la Meuse, en Lorraine, six villages forestiers accueillent chaque été depuis 1997, lors du Festival du Vent des Forêts, des artistes en résidence de production. Fruits de ces séjours, plus de cent vingt œuvres ont été créées le long de quarante cinq kilomètres de sentiers spécifiquement balisés et librement accessibles de mars à septembre. Articulés autour d'un thème annuel, Le Festival et ses prolongements au cours de l'année (expositions intra muros, conférences...) croisent les enjeux de l'art contemporain et un contexte rural et sylvestre



En 1997 est née l'association Le Vent des Forêts, de la rencontre d'un artiste (François Davin), de six communes (Dompcevrin, Fresnes-au-Mont, Lahaymeix, Nicey-sur-Aire, Pierrefitte-sur-Aire et Ville-devant-Belrain) et de villageois, autour d'un projet de production d'œuvres dans le massif forestier local. Initiant là une expérience unique en Meuse, les acteurs de ce projet ont su, par leur mobilisation constante, perpétuer l'esprit du Vent des Forêts, préserver son enracinement local, et ouvrir de nouvelles perspectives de développement culturel.
Tous les ans, Le Festival du Vent des Forêts accueille pendant deux semaines au mois de juillet entre sept et quinze artistes en résidence de production. Bénéficiant de l'aide potentielle de nombreux bénévoles, de la logistique de l'association, et de partenariats professionnels, chaque artiste réalise le projet pour lequel il a été sélectionné. Réalisées in situ, les œuvres jalonnent les cinq parcours tracés sur le territoire communal des six villages partenaires, dans 5000 hectares de forêt. Les artistes logent chez des habitants des villages, formule qui donne lieu à de riches échanges culturels entre eux, avec les villageois ainsi qu'avec le public nombreux venant souvent de fort loin pour vivre cette rencontre vigoureuse entre l'art contemporain et la ruralité meusienne. Chaque année, environ 25 000 visiteurs parcourent les sentiers du Vent des Forêts.
En partenariat avec Transversales, Le Festival propose aussi une programmation de spectacles et concerts. Formes théâtrales, cirque nouveau, musique du monde, chorégraphie contemporaine : les compagnies et groupes programmés, à la pointe de la créativité dans leur domaine respectifs jouent ici le jeu de la convivialité et de la simplicité dans le rapport aux publics.


Les œuvres produites demeurent sur le sentier après le départ de leur auteur. Accessibles en permanence aux visiteurs - restrictions en saison de chasse - (se renseigner à l'accueil), elles sont exposées au temps qu'il fait et au temps qui passe. Les artistes et Le Vent des Forêts assument que les œuvres ne soient pas pérennisées. 135 œuvres ont été produites depuis 1997 et l'offre artistique du Vent des Forêts est en perpétuel renouvellement.
Le Vent des Forêts s'identifie ainsi à un lieu d'expérimentation artistique, et non à un musée de sculptures en plein air. Un rapport franc et direct des œuvres avec l'environnement brut est privilégié et les conditions d'appréhension des œuvres sont intimement liées à l'expérience de la marche dans le paysage.



Wind of the Forests, a center of art in rural medium
In the middle of the department of the Meuse, in Lorraine, six forest villages accomodate each summer since 1997, at the time of the Festival of the Wind of the Forests, of the artists in residence of production. Fruits of these stays, more than one hundred twenty works were created along forty five kilometers of paths specifically marked out and freely accessible from March to September. Articulated around an annual topic, the Festival and its prolongations during the year (exposures will intra muros, conferences…) the stakes of the contemporary art cross and a rural and woodland context In 1997 the Wind was born association from the Forests, of the meeting of an artist (François Davin), of six communes (Dompcevrin, Fresnes-with-Mount, Lahaymeix, Nicey-on-Surface, Pierrefitte-on-Surface and City-in front of-Belrain) and of villager, around a project of production of works in the local forest solid mass. There initiating a single experiment in Meuse, the actors of this project knew, by their constant mobilization, to perpetuate the spirit of the Wind of the Forests, to preserve its local rooting, and to open new development prospects cultural. Every year, the Festival of the Wind of the Forests accomodates during two weeks in July between seven and fifteen artists in residence of production. Being given the potential aid the many voluntary ones, logistics of association, and professional partnerships, each artist carries out the project for which it was selected. Realized in situ, works mark out the five courses traced on the communal territory of the six villages partners, in 5000 hectares of forest. The artists place among inhabitants of the villages, formulates which gives place to rich person cultural exchanges between them, with the villagers as with the public many often coming from fort to far live this vigorous meeting between the contemporary art and rurality meusienne. Each year, approximately 25.000 visitors traverse the paths of the Wind of the Forests. In partnership with Transversals, the Festival proposes also programming of spectacles and concerts. Theatrical forms, new circus, music of the world, contemporary choreography: the programmed companies and groups, point of the creativity in their field respective play here the game of user-friendliness and simplicity in the report/ratio with the public ones. Produced works remain on the path after the departure of their author. Accessible permanently to the visitors - restrictions in season of hunting - (to get information with the reception), they are exposed to time that it makes and at the time which passes. The artists and the Wind of the Forests assume that works are not perennialized. 135 works were produced since 1997 and the artistic offer of the Wind of the Forests is in perpetual renewal. The Wind of the Forests is identified thus with a place of artistic experimentation, and not with a museum of sculptures in the open air. A frank and direct relationship of works with the rough environment is privileged and the conditions of apprehension of works are closely related to the experiment of walk in the landscape.

Michael Ackerman à "La Cartonnerie" Reims



Dès sa première exposition, en 1999, il s’est imposé comme porteur d’une écriture nouvelle, radicale et singulière. Son approche de Bénarès, réunie sous le titre « End Time City » rompait avec tout exotisme, toute tentative de description, toute anecdote, pour questionner le temps et la mort avec une liberté qui lui permettait de passer du panoramique – dont il renouvelait l’usage – au carré ou au rectangle. En noir et blanc, avec une prise de risque permanente qui l’amenait à explorer des lumières impossibles, il laissait éclater le grain pour imposer des visions énigmatiques et prégnantes.


Qu’il s’attache à garder trace des derniers moments de Time Square habité par des paumés ou des prostituées ou qu’il conserve, en Pologne ou en Italie, le souvenir de visions de lumière et de personnages étranges, il installe toujours un monde en déliquescence, flottant, au bord du gouffre. La tonalité est sombre, les images énigmatiques et tendues, le temps à la fois suspendu et en déséquilibre, le monde est taraudé par une douleur sourde, un mal-être permanent.


De fait Michael Ackerman recherche – et trouve – dans le monde qu’il traverse les correspondances à son malaise personnel, à ses doutes permanents, à ses propres angoisses.


Il l’avoue, discrètement, en réalisant régulièrement des autoportraits, qui n’ont rien de narcissique, mais qui disent qu’il sait appartenir à cet univers qui va mal.


Retenez cette date: le 7 juin à partir de 18h30 à la Cartonnerie, vernissage de l'exposition de Mickael Ackerman en présence de l'artiste, suivi d'un slide show de ses oeuvres en 1er partie du concert de Patti Smith.
As of its first exposure, in 1999, it was essential like carrier of a new, radical and singular writing. Its approach of Bénarès, joined together under the title “End Time City” broke with any exoticism, any attempt at description, any anecdote, to question time and death with a freedom which enabled him to pass from the panoramic one - it renewed the use - to the square or the rectangle. In black and white, with a permanent taking risk which led it to explore impossible lights, it let burst the grain to impose enigmatic visions and prégnantes. That it attempts to keep trace of the last moments of Time Square inhabited by the lost ones or prostitutes or that it preserves, in Poland or Italy, the memory of visions of light and characters strange, it always installs a world in deliquescence, floating, at the edge of the pit. The tonality is dark, the images enigmatic and tended, at the same time suspended time and unbalances some, the world is tapped by a deaf pain, a permanent discomfort. In fact Michael Ackerman seeks - and finds - in the world that it crosses the correspondences to his faintness personnel, with his permanent doubts, its own anguishes. He acknowledges it, discreetly, by regularly carrying out self-portraits, which do not have anything narcissistic, but which says that he can belong to this universe which is badly.
Appoint this date: on June 7 starting from 18h30 with the Cardboard factory, varnishing of the exposure of Mickael Ackerman in the presence of the artist, follow-up of a slide show of its works in 1st part of the concert of Patti Smith.

vendredi 4 mai 2007

Nuit numerique au CC St ex de Reims

Robin Rhode
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A NE PAS MANQUER
Le centre culturel Saint-Exupéry de Reims présente la nuitnumérique#4 le samedi 12 mai 2007, sur le thème gravitations.
Tous les corps libres chutent en subissant la même accélération verticale de 9,81 mètres par seconde carré à la surface de la Terre… La nuitsnumériques#4 rassemblera des corps libres en lutte, négociant avec la gravitation, la masse et l’accélération : Jean-Baptiste André danseur et circassien, Adrien Mondot et Pablo Popall jongleurs, Luisa Ferreira danseuse, Philippe Ramette plasticien, le ballon rouge d’Albert Lamorisse, les robots/ressorts d’ Ed Burton, les flocons graphiques et sonores de Qubo Gas, etc.
Les nuitsnumériques réunissent des propositions artistiques multimédias autour du texte, de l’image, du spectacle vivant, de la musique… De 14h à 24h, chaque nuit propose un parcours d’œuvres à découvrir, des conférences autour de chercheurs et d’équipes artistiques, des spectacles, un espace convivial de lectures et de rêveries, un concert électro en partenariat avec un diffuseur rémois.
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°°° 14H>16H45 CONFÉRENCES
°°°°°° 14H>01H parcours d’œuvres - films
°°°°°°°°° 20H/21H/22H PERFORMANCES & SPECTACLE VIVANT
°°°°°°°°°°°° 23H CONCERT
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° et aussi expérimentations, bar, soupe moléculaire gratuite et tapas à pesanteur
comprimée, fanzines et objets d’artistes
°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° 03 26 77 41 41
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Parcours d’œuvres - films
• The Storyteller , œuvre vidéo de l’artiste Sud-Africain Robin Rhode, avec le danseur et équilibriste Jean-Baptiste André : dialogue gravitationnel entre un arbre, un danseur et le vent – présentée par le FRAC Champagne-Ardenne ;• Balcon II photographie de Philippe Ramette (Collection FRAC-CA) ;
• Sodazoo , ménagerie de créatures virtuelles interactives à pesanteur et motricité variables, créées avec le jeu Sodaconstructor de Ed Burton ;
• Court métrage Le Ballon rouge d’Albert Lamorisse, Palme d’or des courts métrages au Festival de Cannes, 1956, l’amitié entre un enfant et un ballon apprivoisé ;
• La balance céleste , dispositif de Pierre Lesjean ;
• Sélection de sites d’artistes …
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CONFÉRENCES
14h > 16h45
• La gravité des corps célestes par Philippe Simonet, directeur du Planétarium de Reims ;
• La gravitation dans les univers virtuels par Olivier Nocent, enseignant chercheur au LERI – Laboratoire en Recherche Informatique de Reims ;
• Jeux avec des modèles physiques pour un art du mouvement par Adrien Mondot, jongleur ;
• et aussi des expérimentations sur la gravitation avec l’association les Petits Débrouillards et Accustica.

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SPECTACLES ET PERFORMANCES
• 20h et 21h45
Entre-deux,
Extrait d’une pièce à venir de Luisa Ferreira, Cie F.L.,danse
Le solo « entre-deux » pour danseuse et rocking-chair, est une recherche sur les perceptions du corps en début et en fin de vie, sur les différentes étapes de la construction d’un être, comme le stade du miroir, la conscience du je, le narcissisme…
Conception : Luisa Ferreira/régie technique Pierre Lesjean/avec le soutien du centre culturel Saint-Exupéry
• 21h
Grandeur Nature (module 1)
de Jean-Baptiste André, circassien et danseur - Association W - et Karim Zeriahen, vidéaste
Cette petite forme a été imaginée dans le cadre d’une résidence au CAL de Belle-Île-en-Mer.
Après une première collaboration sur le spectacle Comme en plein jour (novembre 06), Jean-Baptiste André, artiste de cirque-danseur et Karim Zeriahen, vidéaste-réalisateur se retrouvent pour concevoir un travail de duo, liant mouvements et images. Une forme inspirée par le sentiment de l’insularité, tentatives d’un corps de se mettre à l’échelle de la terre, de la mer et du vent. Les deux acteurs évolueront dans un environnement d’images filmées, entre plan large et travelling linéaire.
Conception, interprétation : Jean-Baptiste André, Karim Zeriahen/images, réalisation : Karim Zeriahen/création lumière : Hervé Lonchamp
production : Pauline Quantin/Production : association W/Coproduction : CAL de Belle-Île. - Le Manège de Reims, Scène nationale.
L’association W est soutenue par la Région Champagne Ardenne et la Ville de Reims. Cette pièce a été conçue dans le cadre d’une résidence au Centre d’Animation et de Loisirs – Le Palais, à Belle-Île, au cours des mois de mars et avril 007
• 22h
reTime
Cie Adrien M. avec Adrien Mondot et Pablo Popall, jongleurs
reTime propose d’aller explorer ce bref instant du jonglage où naît l’erreur... quelques secondes où tout s’échappe...où, hors de contrôle, le monde patiemment bâti dans la maîtrise, s’écroule. Entre le désarroi et le désaveu, le jongleur, dans son jeu avec la gravité, a encore perdu. Au delà de l’expérience de la chute et sa temporalité éphémère, reTime joue avec le temps et l’espace comme le jongleur avec la gravité.
Conception : Adrien Mondot ; Interprétation : Adrien Mondot et Pablo Popall ; Régie technique : Dominique Viney ;
Administration - diffusion : ay-rOop/Production : compagnie adrien m
Coproduction et soutiens : Manège de Reims, Scène nationale / Centre culturel transfrontalier le Manège de Maubeuge /
Les Migrateurs – associés pour les arts du cirque en Alsace en partenariat avec la Coupole de Saint-Louis. La compagnie Adrien
M est associée au Manège de Reims, Scène nationale pour les saisons 005/ 006/ 007.

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CONCERTen partenariat avec Binary Gears
• 23h
Baover Tit & Vanty Pup
Performances graphiques et musicales du collectif lillois Qubo Gas
« Multimédia wall drawing concert» et performance graphique par Morgan Dimnet, Jef Ablézot et Laura Henno, distingués par la Tate Modern de Londres pour Watercouleur Park, paysages graphiques et musicaux en mutation.
Qubo Gas est un collectif de trois artistes formé en 2000. Ils ont notamment édité Baover Tit, cédérom luxuriant et onirique, où les paysages interactifs croissent au rythme des compositions musicales du duo belge Scratch Pet Land.

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BARS & GOODIES
La créatrice culinaire Marie Chemorin proposera une soupe moléculaire étrangement savoureuse et des tapas à pesanteur comprimée.
Le bar est scénographié par le collectif les 4 éléments et géré par Binary Gears.

La petite boutique de Binary Gears, (fanzine et multiples d’artistes) invite Sarah Walbaum à présenter des objets d’artistes, textiles, design, bijous…


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nn#4
Un événement produit par le centre culturel Saint-Exupéry-ECM
Direction : Anne-Isabelle Vignaud
Avec le soutien de la Ville de Reims, du Conseil Général de la Marne, du Conseil Régional de Champagne Ardenne-ORCCA, du Ministère de la Culture et de la Communication-DRACCA
En partenariat avec festival Scène Grand Ecran
proposé par le Centre National du Théâtre,
avec le Manège de Reims-Scène nationale,
le planétarium de Reims, Binary Gears, le Frac, les 4 éléments, Les petits débrouillards, Accustica
et les entreprises associées
IEC / MGEL
Renseignements 03 26 77 41 41
www.saintex-reims.com

mercredi 2 mai 2007

My wonder life

Expo de la plasticienne Fabesko au CENTRE CULTUREL ST EXUPERY REIMS du 3 Mai au 9 juin.

MODELE PRO FEMININ RECHERCHE SEANCE DE POSE

Pablo Picasso"Le peintre et son modèle"

VOUS ETES PEINTRE SCULPTEUR OU ECOLE. SANDRINE VOUS PROPOSE DE POSER POUR VOUS. TARIFS A NEGOCIER. contact@lettredart.com