vendredi 29 février 2008

Christian Gonzenbach

Une formidable supercherie Exposition de Christian Gonzenbach du 4 mars au 5 avril 2008

Le centre culturel Saint-Exupéry présente Une formidable supercherie, exposition du plasticien Christian Gonzenbach, figure majeure de la jeune scène suisse contemporaine.

lundi 25 février 2008


Jodie, deux mètres dix pour quatre-vingt dix kilos.
Une extraterrestre androgyne ? Une créature d’un autre monde ? Cela nous interpelle dès les premiers instants. Jodie, comme beaucoup d’artistes, déclare ne pas faire partie de cette planète. Il est même difficile de ne pas la croire. Son allure générale et son physique font d’elle une sculpture vivante. Et sculpturale, Jodie, elle l’est. Elle modèle, déforme et habille son corps comme le ferait Rodin devant son pain d’argile. Mensurations : 95-70-95. Son corps se transforme au gré des interventions. Transformiste, Jodie ? Elle l’est et le revendique. Créatrice de mode, elle fut son modèle des premiers instants. Sans doute par manque de choix dans les grandes tailles. C’est comme ça qu’un style est né. Le style Jodie. Mi-gothique mi-Gaultier, sa différence saute aux yeux. Ses parures corsetées valorisent les rondeurs féminines dans leur plus grande intimité. Ses travaux et ses créations ne manquent pas d’intéresser professionnels et particuliers et s’enrichissent au gré des collections. Elle découpe, assemble et coud les vieux jeans pour en faire des vestes. Fermeture éclair sur une manche, dentelle sur une autre, pièce de soie ou strass sur une poche, ses créations rassemblent des instruments, au premier abord incohérents, pour en faire une gamme plus qu’harmonique.

Umberto Bertozzi

Lettre d'art numero 6

Lettre d'art sort demain en support papier Bonne lecture à tous et toutes.

FEMME CHERCHE IDENTITÉ ARTISTIQUEMENT...

Et si les femmes étaient autre chose que les mères porteuses de l'art ? Autre chose qu'un bestiaire de modèles dans des ateliers d'artistes qui posent "au féminin" sous l’œil du peintre "animal lecteur", qui dissèque tour à tour la vierge, la mère, la galante, la reine, la vieille, la servante, la danseuse.
"Serial painter" que l'homme, seul à tracer l'image de la femme dans son ordre symbolique.
A contrario, Braque nous dit : "Je ne peins pas une femme, je peins un tableau" !...
Alors, si les femmes relevaient le défi de projeter leur propre image sur un tableau, une photo ou dans la sculpture, serait-elle si différente ?
Il est vrai que les exemples de femmes-artistes n'étaient pas légion jusqu'il y a peu.
De Madame Vigée-Lebrun, poudrée, enrubannée, à Berthe Morisot, parfaitement maternante, modèle social attendu, qui n'allait au Louvre qu'accompagnée par sa mère..., il fallut attendre 1881 pour que Hélène Bertaux crée "L'Union des femmes peintres et sculpteurs" suivie de leur entrée à l'Ecole des Beaux-Arts.
Mais de quelle façon allait-on y entrer ? En amenant une esthétique féminine de bon aloi, déjà codifiée, ou en retournant sa veste comme Rosa Bonheur qui avait d'ailleurs déjà obtenu le droit de porter la culotte... L'espace d'expression de la femme-artiste pour se raconter publiquement et exposer sa propre image est-il si limité et si caricatural ? Fallait-il s'inscrire dans la tradition des Beaux-Arts pour le Beau Sexe ?
De l'artiste femme-victime, Camille Claudel, à l'artiste femme-rebelle, Frida Kahlo, nous dessinons les mêmes schémas... La femme-artiste trace-t-elle sur elle-même des canons nouveaux, des représentations picturales, des postures sociales différentes ? Aurait-elle peint avec le même regard la passivité des femmes algériennes d'un Delacroix ou y aurait-elle vu autre chose nous éclairant sur leur condition ?
Notre contemporaine Shadi Ghadirian, photographe iranienne, ose le tchador, flanquée d'un ustensile de cuisine en guise de visage, pour dénoncer un conditionnement idéologique ; de même que sa compatriote Mehraneh Atashi, qui photographie des hommes dénudés dans un centre de sport interdit aux femmes, tout en s'arrangeant, grâce à un jeu de miroirs, pour apparaître sur la photo, parfaitement voilée.
Message compris... L'arbre cache la forêt...
Par contre, la nostalgie habite une autre femme photographe, Désirée Dolron, qui a cherché longtemps dans les rues de Rotterdam... une dame... dont la ressemblance avec un modèle de Petrus Christus (1460) a permis l'élaboration d'un "portrait-photo" à la rigueur tout autant calviniste, image immuable, statique, figée de la femme éternelle.
A côté de l'icône souveraine, hors d'atteinte, une vision tout autant attendue de la "femme aux multiples facettes" est déclinée par Cindy Sherman qui s'auto-photographie tour à tour en star, clown, vierge, grimée, accessoirisée. Mais pour qui se prend-elle ? Justement, son petit miroir aux alouettes nous interroge sur la femme-artiste post-moderne face à ses multiples soi-mêmes... Tout comme Annette Messager évoquant la maltraitance avec ses poupées désarticulées, ses tricots pour oiseaux morts... Broderie... Tricots... Matières féminines détournées...
Et si Niki de Saint-Phalle s'obstine à "sculpter-gonfler" ces femmes aux corps de déesses archaïques se promenant dans une fête foraine – outrance de femme –, il est des peintres comme Aurélie Nemours (entre autres) qui se "réfugient" dans l'abstraction, peut-être pour éviter le sujet, leur sujet...
Mais dirait-on cela d'un homme ? En tout cas, l'exposition DIONYSIAC (Centre Pompidou, 2005) n'a montré aucune œuvre de femmes, provoquant une vaste protestation... Cherchez la FEMME !
Sur cette question du genre, des couples d'artistes ont joué de la place respective de la Femme respectant l'état civil ; F = Sonia Delaunay, H = Robert Delaunay. Mais Jean Arp et Sophie Taeuber ont brouillé les cartes en ne signant pas certaines œuvres..., déconditionnant ainsi tout repérage sexué, faisant la nique à tous les "Gender Studies" ; courant d'art du temps ; courant d'air des temples !
Au musée, donc au "temple des muses", on décline chronologiquement la femme à la carnation d'icône. Beauté don de Dieu, rayonnante et cosmique, puis on la scénarise tout en mouvement, captant les lumières (du siècle) jusqu'à son jupon et son escarpolette. Puis on projette chair contre chaire l'arrogante gorge bourgeoise ou le nu provocant et interrogateur d'une Olympia ou d'une Leda... Mais toutes ces Belles au Bois Dormant sont peintes par des hommes, jusqu'à ce petit bout de mur en Sorbonne 1968 : "Jeunes femmes rouges toujours plus belles" !...
Et elles, qu'en pensent-elles ? Qu'en "peignent-elles" ?
Quand Roland Barthes nous dit que "toute œuvre doit être filiale", que fait donc la femme-artiste à propos de sa propre image ?
De maigres exemples retenus par l'histoire nous laissent à penser que la production artistique féminine a existé mais qu’elle a été occultée, souvent reléguée au rang de "cousettes de l'art", les femmes travaillant dans les ateliers de leur père. Cependant, quelques-unes ont été retenues par l'histoire de la peinture, telle Artemisia Gentileschi. Son regard sur la femme nous intéresse ici, tel que dans son tableau Suzanne (effrayée) et les vieillards (lubriques) ou son Autoportrait en Allégorie de la peinture (1630) où elle apparaît ornée d'un pendentif en forme de masque dont la bouche est bandée...
Il y a aussi Marie-Guillemine Benoist, élève de Madame Vigée-Lebrun, qui peindra Portrait d'une négresse : provocation émancipatrice bien qu'à la fin de la Révolution française, et qui sera obligée d'abandonner sa carrière lorsque son mari sera nommé ministre sous la Restauration.
Alors, ces corps de femmes qui donnent la vie peuvent-ils aussi donner leur avis sur elles-mêmes ? Reproduction ! Reproduction ?...
Et pour "compléter le tableau", demandons à une artiste de peindre la tête manquante (et pensante) de la Naissance du monde de Courbet !...
Femme, bien dans son corps, bien dans sa tête !
Pourtant, nous pouvons aussi dire avec Irène Théry (sociologue) qu'aucun d'entre nous n'est enfermé dans un sexe, que seul notre itinéraire compte... Alors, pas de ghettoïsation de la moitié de l'humanité... A vos œuvres, citoyens !
EN ART, NI FEMMES, NI HOMMES !
Et comme le disait Giacometti : "C'est le bronze qui a gagné."

Adeline DENIS AMAR

Madeleine Berkhemer


Come and see 'Mandy's chandelier' in Lourdes.
A permanent installation by Madeleine Berkhemer at the 'médiathèque' in Lourdes.
Inauguration April 25th 2008 by Jean-Pierre Artiganave, Mayor of Lourdes.

vendredi 22 février 2008

Récréation

L'art au chocolat

L'art au café

Centre culturel de Tinqueux

Centre de ressources pour l'éducation artistique et culturelle***exposition de François Matton
SOUS TES YEUXvernissage le jeudi 28 février à 18h30Exposition du 11 février au 31 mars 2008Centre de créations pour l'enfance8, rue Kléber - 51430 Tinqueux03.26.08.13.26contact@danslalune.orgwww.danslalune.orgHoraires d'ouverture : 9h - 12h / 14h - 18h30 du lundi au vendrediet sur rendez-vous pour les groupesEntrée Libre - réservation indispensable pour les groupes
SOUS TES YEUXL'exposition "Sous tes yeux" regroupe 56 dessins tirés du dernier livre de François Matton paru aux éditions P.O.L.Les dessins de cet album sont une invitation à entrer dans une relation amoureuse avec ce qui nous entoure. Il ne s'agit pas d'un récit, mais plutôt de chroniques poétiques. L'aventure est avant tout celle d'un regard qui interroge tout ce qui se tient juste là, devant nous, devant toi, « Sous tes yeux ».C'est aussi l'aventure du dessin et de l'écriture mêlés intimement pour embrasser la présence au monde (on pourrait parler de haïkus graphiques).En regardant ce qui nous entoure avec le crayon en main, on approche les choses de très près. Si près parfois qu'on les perd de vue – ou qu'on se perd en elles, jusqu'à la folie. Il est donc également question de la folie dans ces pages. Mais d'une folie douce, joyeuse. Une perte de soi pour une plus grande présence de tout.Pas étonnant alors que cet album évoque tour à tour un bréviaire pour une vie meilleure, un manuel de survie pour robinsons citadins, un recueil de micro satori et de mini incidents, un agenda pour temps suspendu, un bloc-notes pour vues imprenables de sites modestes... Bref: une invitation au voyage immobile.

François Matton est né à Paris en mars 1969.Enfance heureuse et insouciante perturbée par de violentes crises d’asthme.Bon élève dès la maternelle (bien qu’un peu effacé), il le restera jusqu’à la fin de ses études aux Beaux-Arts de Reims et de Nantes.Vivant de peu, se contentant d’un rien, son existence frappe par son absence totale de faits remarquables : aucun voyage à l’étranger, aucune aventure amoureuse, aucune rencontre fondatrice, aucune ambition sociale, nulle tentative de sortir de l’ordinaire.Il passe beaucoup de temps dans les bibliothèques municipales à feuilleter tout ce qui lui tombe sous les yeux : de vieux romans jaunis, des guides de voyage aux quatre coins du monde, des récits d’aventures exaltés, des bandes dessinées écornées, des ouvrages mystiques, des livres de recettes.Mis à part de fréquentes promenades non loin de chez lui, son principal plaisir consiste à rester seul dans son appartement à ne rien faire. Il a d’ailleurs pour cela une disposition qui, pour le coup, semble exceptionnelle. C’est un peu comme si ne rien faire coïncidait chez lui avec le plus grand sentiment d’être.Être quoi ?Essentiellement rien – et c’est de cela qu’il tire sa joie.Autrement dit : une perte de soi pour une présence de tout.Cette ouverture le pousse à dessiner ce qu’il appelle « les infinies manifestations du même ».Par sa pratique du dessin, liée à l’écriture, il recueille tout ce qu’il perçoit : le plus proche comme le plus lointain, le plus trivial comme le plus noble, le plus grave comme le plus léger. Tout vient se placer sur sa feuille sans aucune hiérarchie. Tous les registres se mêlent joyeusement, ce qui donne lieu à de curieuses rencontres.C’est ici que commence et finit la seule curiosité d’une existence des plus effacées.(« Même pas vrai ! »)
image tirée du blog de François Matton
Pour toute information veuillez contacter :contact@danslalune.orghttp://www.danslalune.orgLe Centre Culturel est subventionné par la ville de Tinqueux, le ministère de la Culture, Direction Régionale des Affaires Culturelles, la région Champagne-Ardenne et le département de la Marne.***

Foires et salons d'art

13/03 – 16/03 : The Affordable Art Fair (Londres) - Angleterre 27/03 – 30/03 : Glasgow Art Fair (Glasgow) - Ecosse 27/03 – 30/03 : The Armory Show New York + Offs : Bridge Art Fair , Pulse (New-York) - USA 02/04 – 07/04 : Artparis (Paris) - France 04/04 – 06/04 : Art Fair Tokyo (Tokyo) - Japon 10/04 – 14/04 : Salon du dessin contemporain (Paris) - France 16/04 – 20/04 : ArtCologne 42e foire (Cologne) - Allemagne 17/04 – 20/04 : Dc Duesseldorf contemporary (Dusseldorf) - Allemagne 18/04 – 21/04 : ArtBrussels 26e édition (Bruxelles) - Belgique 23/04 – 27/04 : Mexico Arte Contemporaneo - Mexique 24/04 – 27/04 : Lille Art Fair (Lille) - France 1re édition 24/04 – 27/04 : Viennafair (Vienne) - Autriche 25/04 – 28/04 : Art Chicago USA 13/03 – 16/03 : The Affordable Art Fair (Londres) - Angleterre 27/03 – 30/03 : Glasgow Art Fair (Glasgow) - Ecosse 27/03 – 30/03 : The Armory Show New York + Offs : Bridge Art Fair , Pulse (New-York) - USA 02/04 – 07/04 : Artparis (Paris) - France 04/04 – 06/04 : Art Fair Tokyo (Tokyo) - Japon 10/04 – 14/04 : Salon du dessin contemporain (Paris) - France 16/04 – 20/04 : ArtCologne 42e foire (Cologne) - Allemagne 17/04 – 20/04 : Dc Duesseldorf contemporary (Dusseldorf) - Allemagne 18/04 – 21/04 : ArtBrussels 26e édition (Bruxelles) - Belgique 23/04 – 27/04 : Mexico Arte Contemporaneo - Mexique 24/04 – 27/04 : Lille Art Fair (Lille) - France 1re édition 24/04 – 27/04 www.lilleartfaire.com: Viennafair (Vienne) - Autriche 25/04 – 28/04 : Art Chicago USA
USA

jeudi 21 février 2008

Aquarelles

CLAUDE CARRETTA

AQUARELLES

Au Restaurant CROQUIGNOLE

55, rue Camille Lenoir à Reims

Tél 03 26 47 84 50


du 1° mars 2008 au avril 2008
(sauf samedi midi et dimanche)

mardi 12 février 2008

Antonella Bussanich au CAMAC

Antonella Bussanich

Au centre d’art camac du 14 février au 31 mars 2008.
Vernissage le jeudi 14 Février de 18h30 à 21h00 en présence de l'artiste.



Antonella Bussanich combine la photo et la vidéo avec différents matériaux, présentés pour créer des installations spécifiques, adaptées au lieu d'exposition. Elle propose à camac un parcours inédit à travers ses œuvres, entre portraits et paysages, pour emmener le spectateur dans un voyage intérieur.

Antonella Bussanich combines photo and video with different materials to create specific installations. She proposes at camac a journey through her new works between portraits and landscapes to bring the viewer into an inner journey.

Antonella bussanich utilise la video de façon sensible sans tomber dans l'exubérance des effets audiovisuels : « j'utilise avec parcimonie tous ces moyens. La caméra me permet de capter mon rythme inhérent, mon sens de l'espace, ma pulsation interne… L'ordinateur me permet de mémoriser et d'analyser ces expériences » explique t-elle.


Dans la galerie d'exposition du centre d'art camac, Antonella Bussanich a conçu un parcours entre portraits et paysages pour plonger le spectateur dans un monde intérieur aux multiples possibilités.


Dés l'entrée, on se trouve face à un œil, caché derrière une feuille, cet œil nous observe comme s'il se trouvait caché derrière une porte, on ne sait plus qui est le voyeur ou le spectateur : Bienvenue dans le monde D'antonella Bussanich.


Sitôt échappé de cet œil inquisiteur, on fait face à trois énormes projections d'une jeune fille immobile, elle nous fait face sans bouger, les trois projections semblent identiques, on les observe avec curiosité, on se demande pourquoi cette jeune fille se tient ainsi, avec les bras légèrement écartés, comme pour prendre un hypothétique envol, mais soudainement une violente secousse agite le rideau de la dernière image et fait envoler cet être dans un autre monde. On se demande, on ne sait plus alors où se trouve la réalité.

Peut être dans ces ciels projetés en petit format qui invitent encore à un envol vers la liberté. Le message est clair, ne restons pas les pieds sur terre, laissons nous la liberté de rêver et découvrir d'autres espaces.


Dans une autre installation spécifique, l'artiste nous invite à cheminer le long d'un cours d'eau, on peut s'y promener à loisir, s'immerger dans l'installation et se laisser bercer par le bruit de l'eau qui coule pour finalement atterrir dans une chute au bruit assourdissant. Là encore, Antonella Bussanich fait référence au temps qui passe, se rapport à la durée est un élément essentiel dans sa démarche avec les événement brutaux, violents ou heureux qui ponctuent le quotidien et auxquels il faut faire face.


Un catalogue de l'exposition sera édité pour l'occasion.


Exposition ouverte du lundi au vendredi de 10h00 à 18h00 et le samedi de 14h00 à 17h30




Infos pratiques :
Le centre d'art camac est ouvert tous les jours de 8h30 à 17h00 du lundi au Vendredi
et de 14h00 à 18h00 les week-end. Entrée gratuite


camac. centre d’art marnay art centre

camac est un centre créatif multidisciplinaire, offrant des programmes de résidences pour les artistes et les scientifiques du monde entier.
Notre ambition est de favoriser l'échange et de développer une communication significative grâceà un environnement unique destiné à des individus et des groupes travaillant à l'évolution des idées ou à la réalisation d'une oeuvre dans des disciplines aussi variées que la peinture, la sculpture, le dessin, la photographie, le film, la vidéo et les nouvelles technologies, les installations, la musique, la danse, les performances, l'écriture et les sciences humaines.

Le centre d’art camac est installé dans l’ancienne propriété d’Henry Filipacchi (inventeur du livre de poche en France) venu s’installer à Marnay dans les années 50.

Son fils Daniel a ensuite pris la relève et le domaine est vite devenu un lieu de villégiature particulier pour les artistes de la génération « Salut les copains » et des plus grands Jazzmen de l’époque.
Le duo Fillipacchi-Ténot enregistrait un grand nombre d’émissions dans le studio qui avait été créé.
En 1999, Frank Ténot décide de transformer ce lieu en centre d’art contemporain pour y faire venir des artistes du monde entier.

lundi 11 février 2008

Dominique Digeons



A L’ENSEIGNE DES OUDIN – librairie, galerie d’art - 58 rue Quincampoix - Paris -75004 tél. 01 42 71 83 65 Mardi à samedi 11h30-13h30 et 15h-19h


Dominique DIGEON

Résurgences
Oeuvres récentes

Exposition du samedi 16 Février au samedi 29 Mars 2008

Vernissage / inauguration le samedi 16 février 2008 à partir de 16h en présence de l'artiste.

SERIAL PEINTRE
En 33 ans de pratique opératoire active, j'ai donné naissance à plus de 25 séries, sans redite et sans compter les œuvres orphelines qui regroupées entre elles peuvent constituer un groupe chronologique .
Armé de colles (peau et caséine), de pinceaux, de couteaux ( pas des truelles, mais d'instruments qui coupent, grattent, pèlent et incisent), j'ai brisé et émoussé des centaines de lames pour disséquer / construire des dizaines de tableaux afin d'en extraire les fonctions internes.
Avatar (entre autre), du mystérieux et sûrement innommable culte de Mithra, pratiqué selon Plutarque, par les pirates dans les grottes méditerranéennes et ancêtre de la tauromachie, c'est dans cet esprit de dessiccation de la matière jusqu'à la résurgence de l'organique fossilisé que j'inscris le thème du Minotaure.
Alternant accumulation et évidement, décolorant les tissus constitutifs de la surface peinte, acceptant le passage de la trépanation accidentelle de la toile à l'ablation volontaire du support: Résurgence ( dont une partie fut présentée au dernier MAC2007 sous le titre Immergeances ) s'insère dans cette logique sérielle par un passage au blanc d'une élévation osseuse.
Pour en appréhender la généalogie, cette exposition dans l'espace intime de la galerie principale (rue Quincampoix), sera associée à deux présentations ponctuelles de Toiles Mères, sélectionnant une pièce de chaque série principale à la galerie annexe (rue Martel) les dimanches 24 février et 30 mars après midi.

Dominique DIGEON : Actualités 2007/08 (extraits):

Expos : De Matisse à nos jours Livres d'artistes Musée national d'histoire de Taipei Taiwan - Salon du Cadre d'Or Espace Pierre Cardin Paris - Grands Formats Espace Martel / Oudin Paris – Immergeances MAC 2007 Paris.
Presse : Portrait d'artiste Dossier spécial Arts & Métiers du livre Février /Mars 2008 - Baudelaire à l'endroit et à l'envers Art&Métiers du livre N°258 Février/Mars 2007 Par Christophe Comentale.
Radio : Canalacadémie.com interview par Mme Durand-Lacaze .
Livres : Toiles Mères Catalogue - Immergeances Catalogue - ExTraits Monographie

www.enseigne-des-oudin.com http://pagespro-orange.fr/dominique;digeon atelierdd@orange.fr

Presse et estampes

Bonjour,Le site www.presse-estampe.com vous propose une gammede presses taille-douce et toute un ensemble de services pourvos annonces de stages, matériel d'occasion, annuaire de graveursannonces d'expositions se rapportant à la gravure et à l'estampe.retrouvez-nous sur www.presse-estampe.comCordialementL'équipe de Presse-Estampe

jeudi 7 février 2008

Appel a candidature

Bonjour,
Pour la 6ème année consécutive, l'UCAR organise la Fête du Printemps, le SAMEDI 26 Avril 2008 à Reims (place de Lisieux, quartier maison blanche).
Nous invitons des artistes à venir exposer gratuitement leurs œuvres autour de ce thème.
Si vous voulez faire une brève dans votre journal afin d'informer les artistes, nous en serions ravis.

Je vou fait parvenir ci-joint le bulletin de participation à faire remplir aux intéréssé(e)s.
Je reste à votre disposition pour tout complément d'information.

Bien Cordialement.
Charlotte pour l'UCAR.


------------------------------------------------------------------------------UCAR-Commerces de ReimsUnion Commerciale et Artisanale de Reims51 rue Antoine Goussiez51100 ReimsTél/Fax: 03 26 87 33 59Mme Laurence Percy, Présidente de l'UCAR.Mme Kostrba Valérie, Directrice de l'UCAR: 0620724824Melle Fernandez Sylvie, Responsable Animations/Communication: 0603518295E-mail: ucar@free.frSite Internet: www.commercesdereims.com
consécutive, l'UCAR organise la Fête du Printemps, le SAMEDI 26 Avril 2008 à Reims (place de Lisieux, quartier maison blanche).
Nous invitons des artistes à venir exposer gratuitement leurs œuvres autour de ce thème.
Si vous voulez faire une brève dans votre journal afin d'informer les artistes, nous en serions ravis.

Je vou fait parvenir ci-joint le bulletin de participation à faire remplir aux intéréssé(e)s.
Je reste à votre disposition pour tout complément d'information.

Bien Cordialement.
Charlotte pour l'UCAR.

vendredi 1 février 2008

Caroline Valette

Bonjour à tousVous êtes invitez à l'instant même à découvrir la nouvelle mise en page de monsite: http://caroline.valette.free.fret la création d'un blog "Matières Premières" http://caroline.valette.over-blog.comJe ne promets pas de faire des articles très régulièrement mais je vais tenterde le nourrir de temps en temps...A bientôtAmicalementCaroline Valette