vendredi 18 mai 2007

Nouvelle

Il, y avait une fois dans un pays merveilleux, ma coquille. Elles étaient là, à attendre à l’affût, qu’un regard de femelle s’accapare le mien parmis la multitude d’embrouilles des politesses bien venante de la bourgeoisie errante. Moi j’étais la comme une huître à attendre que la marée passe. C’était un vernissage. C’est là que j’ai rencontre Carole, je me suis approché, et lui ai esquissé un sourire. Inutile de vous explique les détails car vous n’êtes pas des sots, parce que vous pourriez être con mais ça, s’est pour les intimes. Alors j’étais là avec Carole. Il faut que je vous parle des huîtres. Pour que deux huîtres se rencontrent elles sont généralement sur le même rocher, c’est la que vous n’êtes pas cons, car vous savez bien quelles ne se rencontre pas en faisant le marché entre dix heures et midi le dimanche matin après la messe. Et oui, j’étais pas la seule huître à être présente ce jour la sur le rocher. Mais ni l’une ni l’autre ne faisait des perles. Là je ne vous explique pas la différence entre la perle de culture et la perle sauvage car s’est vous qui allez dire que je suis con ou tout du moins chiant. Et puis je sais, que de toute façons vous aussi regardez thalassa le vendredi soir après l’apero parce que vous êtes des bons citoyens comme moi et que l’apéro, la semaine, ne dure pas jusqu a 20h45 (heure de talassa )le vendredi soir après la pub sur la trois national. . Maintenant, je sais que j’ai gagné votre sympathie et que vous irez au moins jusqu’à la deuxième page de ce chef d’œuvre en écriture. Donc je reviens à l’histoire de cette huître rencontrer sur le rocher. Elle était là à me regarder avec ses yeux de merlan frit. Moi qui suis un homme très perspicace j’ai tout de suite compris que ces yeux là ne me regardais pas avec l’indifférence que l’on peut accorder à la personne qui viens uniquement le dimanche matin, après la messe, sur le marché dans les mois en r pour acheter sa bourriche et qui attends la monnaies sans même vous daigner d’un regard. C’étais le jour de vernissage d’une super expo d’un super artiste il y avait plein de gens et plein de peintures qui étais accroches (pas les gens). Le champagne coulait à flot et les regards en disaient plus que la presse partisane de ce moment de révolution culturelle internationale que nous vivions dans cet instant inédit. -On se connais je crois, lui dis-je avec toute l’attention qu’il se doit dans ce genre de rassemblement de la bonne société environante. -Vous venez souvent dans les expos ? -Oui j’aime bien parler avec des gens intellos c’est mieux qu’avec les hétéros, c’est pas pareil. -Ha, bon. Vous avez sans doute raison. HaiHaiHai il faut que je change de sujet. Son verre était vide, et je m’empressais de lui proposer mes services pour un aller retour rapide vers le buffet. J’arrive toujours, après 45 années de faste indifférence auprès de l’espèce humaine à m’étonner de m’a grande courtoisie au sujet de la gente féminine. Ceci dit, j’aime aussi beaucoup les enfants, ça s’est sans doute mon côté rital. Et je vous l’expliquerais plus tard si vous arrivez à la dixième page de cet ouvrage. Revenant avec mes verres à la main je m’aperçu que ses lèvres c’étaient entrouvertes et dévoilaient des dents de nacre (normal pour une huître) pour m’exquise un sourire qui me faisait frémir dans m’a plus grande intimité. -Mais ou nous sommes-nous donc rencontre lui dis-je avec un étonnement qui aurais pu lui sembler sincère. - Sans doute au bal des pompiers le mois dernier me rétorqua t’elle d’embler sans grande conviction. Là, je ne savais plus quoi répondre et j’asseyais de captiver dans son regard le degré de sa réponse sans grande conviction à mon tour. Et, le miracle se produisis sans même que je puisse m’y attendre ,ses yeux se mirent à briller et me regardant fixement à peine entrouverts ils devenaient des étoiles. Un éclat de rire se produisis instantanément de par et d’autre et j’avais compris que la glace du premier regard étais rompu et que les prochaines minutes qui allaient suivre seraient riches en émotions. -Pourquoi riez-vous ? Je m’adressai à elle avec mon regard des plus expressif. -Si vous aviez vu votre tête. Hihi, rajouta t-elle. -Je crois que quelqu’un va parler lui dis-je en lui proposant de se rapprocher du groupement qui étais en train de se formé au fond de la salle. -Salut Hubert. Je me retourne et qui voilà. Ha ! C’étais le poulpe, lui aussi avais repéré mon huître. Vous savez très bien que les poulpes sont friands de crustacés puisque vous regardez la trois le vendredi soir. -Tiens qu’est ce que tu fais là ? Je lui posais la question mais savais très bien qu’il ne manquait jamais l’occasion de boire une coupe gratuitement et en plus s’était son lieu de prédilection pour la drague et bien sur comme il avait repéré la gente dame qui se trouvait en mon aimable compagnie il ne perdait pas l’occasion de faire une heureuse rencontre. -Excuse-nous, lui dis-je en prenant le bras de ma bien aimé pour l’entrenner vers l’orateur qui avait commencé à parler. IL resta là bouche bée sans rien dire, nous regardant nous éloignées. Moi je me retournais vers lui, sourire en coin, un peu trop calculé à mon goût, mais nécessaire pour la circonstance. -Et c’est grâce aux compétences du personnel de notre municipalité que cette exposition a pu voir le jour, je tiens tout d’abord à remercier monsieur…………etc. Le ton étais donner blablabla pendant 10 minutes au moins, espérons qu’il n’y aura pas trop de personnes à prendre la parole. -Chuuut Les regards se tournent vers nous. Je n’ai rien fait et me retourne. Le poulpe était là, a conversé avec devinez qui ? Il avait sortie ses tentacules et ses ventouses ne risquaient pas de lâcher leurs proie..........

LA SUITE VIENDRA PLUS TARD

Aucun commentaire: